Saint Barthélémy : Maison à vendre
La plage, le soleil, et… pas d’impôt : une île à la fiscalité de rêve
Fiscalité de rêve à Saint Barthélemy, son statut fiscal privilégié est encadré par la loi organique de 2007.
(Source texte et photo partenaire local) A ce titre, les personnes résidant à SAINT BARTHELEMY depuis plus de 5 ans sont exonérées de l’Impôt sur le revenu et de l’impôt sur la fortune (pour les biens situés à St Barthélémy), elles ne sont pas soumises à la TVA ou autres taxes et elles ne paient pas de droits de succession pour les biens situés sur l’île et au profit des héritiers résidant dans un pays sans droit de succession.
Les locations bénéficient également d’un régime fiscal favorable et sont très peu fiscalisées du fait des amortissements.
Exemple : si un italien achète une villa à SAINT BARTHELEMY, les locations qu’il encaissera ne seront pas (ou peu) fiscalisées au cours des 30 à 40 premières années du fait de l’importance des amortissements.
L’île de SAINT BARTHELEMY reste cependant rattachée à la législation française pour certains points comme pour les contributions sociales (CSG-CRDS) qui restent dues.
Sur cette petite île des Antilles françaises qui s’étend sur à peine 21 km2 -24 si l’on compte les îlots -, il n’y a pas d’autre activité industrielle.
Si l’Insee dénombre quelque 5000 «entreprises» locales, ce sont pour moitié des auto-entrepreneurs.
Comment expliquer l’engouement pour cette petite île ?
Qu’est-ce qui attire, au-delà des plages de sable blanc, Johnny et Læticia, Leonardo DiCaprio, Rupert Murdoch, Paul McCartney, Puff Daddy, Courteney Cox ou Roman Abramovitch, propriétaire d’une sublime propriété au-dessus de la plus belle plage, celle de Gouverneur ?
Ce petit territoire offre, à l’année ou à la semaine, du bonheur «à la française ».
Française, l’île ne l’a d’ailleurs pas toujours été. Découverte par Christophe Colomb en 1493, qui lui a prêté le prénom de son frère, elle fut achetée par la France à l’Ordre de Malte au xviie siècle, fut revendue par Louis XVI au roi Gustave III de Suède au xviiie, puis redevint française à la fin du xixe, où elle fut rattachée à la Guadeloupe.
Aujourd’hui, malgré quelques noms de rue et de sa capitale, Gustavia, qui rappellent la période suédoise, Saint-Barth, c’est la France.
À Saint-Barth, presque pas de voleurs ou de criminels, une météo idyllique, de très jolies plages, des voitures de luxe, des maisons respectueuses de la beauté de l’île.
Ce n’est pas tout: pas de tourisme de masse, des restaurants qui proposent une cuisine internationale ou caribéenne et, pour les amateurs, de la gastronomie française, des hôtels et des magasins de luxe à tous les coins de rue…
Seuls ceux qui résident depuis plus de cinq ans sur l’île bénéficient de ce régime ultra favorable qui leur permet d’échapper à l’impôt sur le revenu et à l’ISF, à la TVA et aux droits de succession.
Impossible de s’installer opportunément.
Ensuite, l’île est bien gérée. Elle est d’ailleurs managée comme une entreprise.
Son budget de fonctionnement frôle les 50 millions d’euros, dont 30% sont consacrés à la masse salariale de la Collectivité.
À Saint-Barthélemy, décidément, l’immobilier est au centre de tout. C’est la première industrie. Les terrains constructibles sont rares et chers (1000 à 5000 euros le mètre carré). Les villas bien situées se négocient entre 5 et 10 millions d’euros.
Une petite chambre dans une arrière-cour se loue 2000 euros par mois.
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